Le coaching professionnel levier de bien-être en entreprise ?

Longtemps perçu comme un outil curatif et réservé à une élite, le coaching professionnel se transforme sans se dénaturer pour répondre aux enjeux actuels et notamment aux enjeux de bien-être en entreprise. Si son format traditionnel le cantonnait à un second rôle dans l’entreprise sur ce volet, la technologie alliée à une méthodologie nouvelle tend à le placer au premier plan.

Une vision malheureusement fréquente du coaching voudrait qu’il soit un outil très cher proposé à certains top managers dans des situations désespérées. Or si le coaching peut aider dans ces situations de détresse managériale, il s’agit un cas d’usage minoritaire et ça n’est pas son objectif premier. En réalité, le coaching est une pratique de développement professionnel visant à accompagner des “personnes ou des équipes pour le développement de leurs potentiels et de leurs savoir-faire dans le cadre d’objectifs professionnels” (définition de la Société Française de Coaching). En d’autres termes il s’agit d’aider chacun, individu ou groupe à réaliser son potentiel professionnel grâce à un accompagnement personnalisé : une définition beaucoup plus large et positive, qui encourage plus à cultiver bien-être qu’à soigner le mal être.

Quand coaching rime avec bien-être en entreprise

Le coaching est par nature un outil de bien-être clé en entreprise, bien qu’il soit aujourd’hui sous-estimé à cet effet, et donc sous-utilisé :

• Il est un outil de développement

• Se développer, apprendre, progresser. C’est lorsque l’humain a l’impression de réaliser son potentiel qu’il s’épanouit ! Le coaching s’inscrit dans cette démarche visant à faire grandir l’individu et lui apporter une satisfaction personnelle qui contribue au bien-être personnel et au besoin d’accomplissement.

• Sa pratique est personnalisée et concrète

• Les formations théoriques collectives sur la QVT peuvent donner des clés d’analyse, des grilles de lecture, mais elles ne peuvent prendre en compte toutes les situations individuelles particulières, là où le coaching part de la situation individuelle concrète pour construire une solution sur mesure.

• Il est orienté solution 

• Le coaching permet à chacun d’identifier ses forces, les mobiliser et de travailler sur ses axes de développement pour résoudre des problèmes. L’expérience est donc valorisante pour la personne puisqu’elle permet de ne pas rentrer dans une spirale d’échec ou dans une relation de dépendance avec un consultant / formateur. Selon l’étude ICF 2009, 80% des coachés développent une plus grande confiance en eux grâce à cette pratique.

• Il développe les soft skills : 

• Les soft skills ou “compétences douces” rassemblent les compétences managériales et comportementales (gestion des émotions, gestion du stress…). Elles ont aujourd’hui une place prédominante car elles sont indispensables pour traverser les transformations successives de l’entreprise (transformations technologiques, organisationnelles, culturelles…). Le coaching développe les soft skills et notamment les relations humaines (pour 73% des coachés) et les compétences de communication (72%). En développant leurs soft skills, les collaborateurs gagnent en résilience et en sérénité pour accueillir le changement : une “assurance bien-être” pour les entreprises.

Mais s’il est une solution “miracle” de bien être, pourquoi n’est-il pas plus répandu aujourd’hui ? Tout simplement parce que son format historique le prédestinait à servir un petit nombre de personnes : en moyenne 10 séances de coaching, en présentiel, sur plusieurs mois ont un coût dépassant les 10 000€ ! De tels budgets ne pouvaient pas raisonnablement être affectés au développement de chaque personne en entreprise.

Démocratisation du bien-être grâce à la technologie

Technologie et bien-être ne sont pas souvent des concepts associés positivement. La technologie est même accusée d’accentuer les problèmes de QVT : problème de pression au travail, de difficulté à trouver un équilibre pro / perso, de fatigue visuelle et cognitive liée au zapping permanent entre différents projets, interfaces…

Pourtant lorsqu’elle est mise “au service de l’humain” la technologie peut aussi “augmenter” le meilleur : le coaching digital est un exemple type. En gardant le meilleur de l’humain (l’accompagnement personnalisé avec un coach professionnel) mais en s’affranchissant des contraintes (lieu, temps) le coaching s’est transformé en un vrai outil de développement accessible à tous, partout et tout le temps. Cerise sur le gâteau, le format historique en 10 séances, compliqué à mettre en place pour les RH et destiné à traiter des problématiques “lourdes” fait aujourd’hui place à un format dit “spot coaching” permettant de traiter des thématiques soft skills ponctuelles (gestion du stress, gestion des émotions, confiance en soi) et donc de cultiver le bien être “par petites touches”.

C’est le format choisi par Simundia pour démocratiser le coaching en entreprise grâce à une plateforme de coaching visio. La communauté de coach est sélectionnée sur des critères très stricts (accréditation, certification, expérience…) et permet donc de mettre chaque personne en contact avec le meilleur coach pour son besoin.

L’humain et la technologie se rejoignent ainsi pour proposer une expérience de développement et bien-être personnalisée. En conséquence, il devient possible de proposer du coaching en entreprise à dix fois plus de personnes pour un budget équivalent. Or les bénéfices du coaching sont à la fois directs (pour la personne) et indirects (pour l’équipe de la personne) décupler le nombre de coaché multiplie donc de manière exponentielle les bénéfices pour l’entreprise ! 

Chez Simundia, nous accompagnons plusieurs de nos clients sur ces thématiques en leur proposant notre solution de coaching individuelle et personnalisée.

Nous accompagnons des femmes et des hommes, nous les aidons à faire évoluer leurs comportements en allant chercher les réponses en eux… c’est l’art du coaching!